lundi 27 décembre 2010
Oh, Susanna, Oh don't you cry for me For I come from Alabama With my banjo on my knee
lundi 13 décembre 2010
Sheena (Cindy ?) is a parasite
Apparemment, j'ai un amour immodéré pour les sports et les exercices musculaires. C'est la Wii qui va être contente de le savoir. Elle qui me voit en moyenne tous les 28 jours...
"Vous faîte preuve d'agressivité pathologique, destruction gratuite, brutalité, grossiéreté...". En clair, je suis un rebut de la société, doublée d'une folle bipolaire, condamnée à être internée. Donc, n'ayez pas peur, si je vous balance un livre à la tronche, c'est pas moi, c'est Mars en Bélier.
Je suis prédisposée aux mathématiques. C'est pour ça que j'avais 2,5 de moyenne à l'école et que j'ai fait L.
J'ai une imagination très fertile (certes) et je suis apte à rentrer en contact avec les habitants du monde invisible. Nous ne développerons pas ce point. Je suis folle, on a comprit.
"Vous pouvez être volage et inconstante dans vos affections, malheureuse au jeu, en spéculations, et avoir une nature basse et sensuelle". Rien qu'en une seule phrase, je retiens 3 idées : je suis une salope malchanceuse et pourrie.
Les voyages à l'étranger sont, pour moi, sources de gros ennuis. C'est con. Je devrais donc me contenter de Midi-Pyrénées et, peut-être, si je suis hardie, du Languedoc-Roussillon. Comme ça, j'attraperai pas la Malaria. Ou je ne me ferai pas enlever par des fanatiques révolutionnaire Mormon.
Pour ce qui est du boulot, je serai sûrement une haute fonctionnaire, une femme d'affaire, une politicienne, j'aurai une vocation religieuse ou je serai une excellente policière. Que du bon. Je me demande encore pourquoi je suis pas entrain de faire l'ENA, là...
Mais ceci n'est qu'un petit échantillon. Le seul truc que j'ai retenu, c'est qu'on me parle souvent de religion... Nooooon, pas le couvent !!
(Ndlr, qui n'a rien à voir, on dit merci qui pour la nouvelle playlist-qui-donne-envie-de-faire-un-feu-de-bois-pour-danser-autour ?!)
samedi 20 novembre 2010
Girls just wanna have fun
Il y a quelques jours, je regardais d'un air absent (ou pas), le site Lookbook. Tu sais, le site où les gens postent des photos d'eux pour montrer leur look trop original (ou moche, c'est selon). Oui, je regarde ce genre de site, j'assume, je ne suis qu'une fille superficielle parmi tant d'autre (mais je ne lis pas Closer, je vous l'ai déjà dit ?). Tout ça pour dire que ça me donne des idées de comment me fringuer ou du moins, de ne pas rester 3h devant mon armoire le matin, en pleurant presque que, de toute façon, j'ai vraiment plus rien à me mettre.
J'avoue, des fois, je m'habille bizarrement. C'est à dire à mon goût. Qui plaît à peu de monde mais tant pis. C'est pas ma faute si les gens ne comprennent pas l'originalité ou la tendance (ou les deux). Mais franchement sur ce site, la plupart du temps, je suis désarçonnée devant certains looks...
Les filles, t'as l'impression qu'elles ont récupérés ce que portaient leur mère dans les années 80. Mais non, même pas, tous les magasins du monde rééditent juste les mochetés d'il y a 30 ans. On se foule pas, on n'innove pas, pourquoi faire, de toute façon ? Y'aura toujours des folles pour déclarer que les survêts fluos, c'est trop IN. Donc voilà comment nous nous retrouvons à arpenter des boutiques remplies de couleurs qui piquent les yeux, de paillettes dorées, de motifs géométriques et d'épaulettes agressives.
Mais je ne sais pas si le pire, ce n'est pas encore chez les mecs. Bon, y'en a déjà , ils n'ont pas reçu le gêne de comment accorder les couleurs pour pas ressembler à Arlequin. Mais si en plus ils décident de suivre la tendance, ben on se retrouve avec des clones de "Parker Lewis ne perd jamais" (la série que déjà à l'époque, je ne regardais pas parce que leurs vêtements avait l'air trop grand et sorti d'une benne). Et là, c'est le drame et l'orgie de mauvais goût... Une doudoune violette CHEVIGNON avec des mocassins... Aallôôô, faut se réveilleeer !
Enfin, moi je dis, regardons vers le futur. Peut-être qu'il y aura un génie qui décidera de ne pas inclure de synthétique dans ses nouvelles créations.
jeudi 21 octobre 2010
I've been searching for a heart of gold and I'm getting old
Cela fait maintenant 3 semaines que j'ai reprit la vie trépidante d'une post-lycéenne. Oui, OK, ça fait 3 ans que j'ai eu mon bac L mention AB avec 11,97 de moyenne, merci de remuer le couteau dans la plaie béante de ma vieillesse galopante *reprend sa respiration*. Ceci dit, mon école BTS, c'est plus proche du lycée que de la fac.
Déjà, mes journées sont hyper-chargées. J'ai presque toujours 8h de cours et encore, je ne me plains pas, la dispense d'espagnol m'enlève 4h30. Viva Espana ! Huhu. Le fait est que j'ai eu un peu de mal à me remettre dans le bain. Les chaises sont dures. Ça fait mal au dos d'écrire. Et au poignet aussi. En plus, en croisant les jambes, ça coupe la circulation et ça fait des fourmis qu'après quand tu te lèves, tu boîtes. Non et puis mon attention est limitée, faut dire ce qui est. Je peux me concentrer environ 10mn sur ce que dira le très intéressant prof de droit (...) et pouf ! Mon regard est attiré vers la tenue atypique de ma voisine de gauche.
Ensuite, les cours, ben, c'est des vrais cours de comme quand t'es en terminale. T'es 26 dans une petite classe, le prof est debout ou assit et il parle pendant que tu essaies, j'ai bien dit essaies, de comprendre et de pas regarder la minuscule pendule que tu voies pas très bien parce qu'il y a bien une habitude que tu n'as pas perdu, c'est t'asseoir au fond (mes phrases sont looongues aujourd'hui, on dirait du Proust. Big up, Culture G !). Et puis tout n'est pas très simple. Y'a qu'à voir les intitulés : Gestion, économie, droit, marketing. Des gros mots. C'est comme à l'école, j'ai déja mes bêtes noires et d'autres que j'aime d'amour parce que je peux montrer que je comprends. Exemple, l'italien, l'anglais, l'histoire de l'art et la géographie. Par contre, tu me trouvera entrain de regarder les mouches quand on nous parlera de droite de budget. Une vraie littéraire.
Heureusement, la plupart des profs sont très amusants avec un humour frisant la blague Carambar, bien qu'il y en ait d'autre qui soit très pédants, genre : "A la fac, mon prof de Droit m'a demandé d'aller dans sa voiture chercher la Constitution anglaise. Mais j'ai dit "Ah non ! Parce qu'elle n'existe pas ! " Ahah" Oui, ahah...
Voilà, ma nouvelle vie, c'est ça : courir pour ne pas louper le bus, courir pour prendre le métro, m'asseoir et écouter, manger, boire, rigoler, courir pour ne pas louper le métro et le bus, rêvasser devant mon improbable-futur-copain-sosie-de-Richard-Armitage, rentrer chez ouam, manger, dormir... Sans rire, j'adore.
vendredi 8 octobre 2010
The trouble is that you're in love with someone else... It should be me !
Pour une fois, je n’ai pas eu à arriver 3h à l’avance ni à ruser comme une sioux en jouant des coudes et des cheveux pour me retrouver devant la scène. Même en affichant complet et en étant connu mondialement, Interpol génère des fans que j’ai plaisir à croire socialement évolués, vu comme ils forment une jolie file, ne crient pas et ne grillent pas les places. C’est ainsi que Solène et moi, nous nous retrouvons au 2ème rang, pile poil devant le micro central.
Les hommes d’Interpol aiment se faire désirer. Mais le talent peut attendre, non ? L’excitation est palpable dès que quelqu’un entre sur scène, même si c’est qu’un roadie qui vient tester la guitare et qui se prend pour Brian May. Enfin, avec presque 1h de retard, ils arrivent. Enfin, ce qu’on voit surtout arriver, Solène et moi, c’est Paul Banks, le chanteur/guitariste. Nous échangeons un regard de connivence et on ne peut s’empêcher d’ouvrir la bouche de béatitude et de pouffer comme les éternelles ados que nous sommes. Oui, parce que Paul, on l’a déjà vu dans les clips, il est beau gosse. Mais en vrai, en chair et os, il joue dans une catégorie au-dessus. Non, pas sublime, encore mieux… C’est un demi-dieu, en quelque sorte. Mais nous nous étendrons là-dessus plus tard, pour l’instant, le concert commence.
Et pour bien débuter, voilà une chanson du dernier album. Nous sommes émerveillées : la voix grave de Paul est égale à celle des disques, les accords de Daniel Kessler sont les mêmes (il est trop bien fringué en plus - mais ça n'a rien à voir avec la guitare, si ?) et tout s’imbrique naturellement… La sobriété est de mise, la mélancolie flotte avant d’éclater et de nous asperger de crissement de guitare plus violents, presque furieux. On pourrait presque toucher tous les sentiments. Ouais, c’est ça, les sentiments transpirent de chaque mot de Paul, de chaque coup sur la basse, de chaque nappe de claviers. Les chansons se suivent et ne se ressemblent pas. Paul sourit en nous entendant applaudir comme des malades, à s’écorcher les mains tellement c’est bien, on en veut encore, allez, on repart ! Des « merci, merci bien » timides et revoilà des nouveaux titres mélangés aux anciens : "Say hello to the angels" , "Rest my chemistry" , "Mammoth" , "Summer well".
Le seul point négatif que j’en retire ? Avoir apprit le lendemain que Paul sortait avec une ex top-model. Mais bon, ça fait pas vraiment partie du concert, si ?
dimanche 26 septembre 2010
Angels with dirty faces
dimanche 19 septembre 2010
Lollipop, lollipop, oh lolli lolli lolli
Et puis, j'ai ouvert les yeux sur le monde qui m'entourait. Du moins, j'ai regardé plus attentivement les acteurs, les chanteurs, bref, tout ceux qui passaient à la télé (parce que les boutonneux du lycée, bon...). La moindre série, film ou clip étaient susceptibles de me faire découvrir un "nouveau", un autre sur qui me rincer l'oeil, quoi. Mentalement, j'ai commencé à dresser une liste, certes sommaire, mais qui valait déja son pesant de cacahuètes (j'aime beaucoup cette expression et je déplore que nous ne l'utilisions pas plus souvent).
lundi 13 septembre 2010
Emily (Cindy) tries but misunderstands, ah ooh
samedi 11 septembre 2010
They are the eggmen, I am the walrus, goo goo g'joob
dimanche 5 septembre 2010
We are the Woooorld
On est tous pareil et en même temps, on est tous différents. Ne fuyez pas, c'est vachement important ce que je dis ! Je vais essayer de mieux m'expliquer (mais vous vous attendez à quoi à 8h du mat' aussi ?).
Je veux dire par là que c'est un fait, on est tous foutu pareil. On a deux jambes, deux mains, une tête, des oreilles, bref, le toutim du corps humain plus ou moins bien constitué, quoi (on se croirait au CP, hein ?). Après, je suis d'accord avec la réflexion que vous allez me faire, on a des trucs qui servent à rien, genre l'appendicite et aussi des trucs qui dysfonctionnent comme le cou quand tu veux dormir sur le ventre (moi, c'est limite torticoli après). Mais bon, c'est au Créateur qu'il faut se plaindre. Et puis d'abord, c'est pas du tout le sujet de cet article alors revenez à vos moutons, je vous prie.
Doooonc, je reprends, on est pareil et différent à la fois. Pourquoi on n'a pas tous la même couleur de peau ? Et pourquoi on a pas tous la même forme des yeux, de bouche et de cuisses ? Oui, c'est vrai ça, d'ailleurs, pourquoi y'a des gonzesses qui ont les jambes comme des baguettes de tambour et d'autres avec des mollets comme des jambons sous cellophane ? Et pourquoi qu' y' a des gens qu'ont du cholestérol et pas mon voisin, d'abord ? C'est vrai, c'est injuste, le Créateur (c'est à dire pas moi) a voulu qu'on se ressemble mais trop quand même. Il a du se dire que s'il y avait trop de différences, on serait toujours entrain de se taper sur la gueule. C'est ce qu'on fait mais on est un peu plus évolué, on n'est pas des animaux quand même. Nous on se tape pour de l'argent.
Mais vous me faîtes encore dévier du main topic. Z'êtes chiaaants ! Je voulais dire que, dans Sa Très Grande Miséricorde, le Créateur Tout Puissant a oublié qu'au fond, très au fond, là-bas, près du coeur et pas trop loin du cerveau (t'as trouvé ?), on est TOUS exactement pareil.
- Personne n'aime se lever de bonne heure pour aller au boulot. 6h, ça devrait être considéré comme le milieu de la nuit.
- Tout le monde a déja espéré gagner au Loto. A la perfide question : "A qui le tour ?", osez dire que vous n'avez jamais gueulé d'un ton hystérique : "A moiiii !".
- On est heureux quand on est amoureux. Ou on est bête quand on est amoureux. C'est un pléonasme ?
- Le shampoing, ça pique les yeux (cf. Elvis sous sa douche - oui, miam, mais là n'est pas la question...)
- Vous avez déja eu envie de tuer votre patron/collègue/camarade de classe, hein ?Heureusement qu'on n'est pas tous fou.
- Quand la faim nous tenaille, on boufferait n'importe quoi. Oui, n'importe quoi. Et si on nous donne quelque chose à manger à ce moment-là, on trouvera ça forcément hyyyperbonhuuum même si c'est des brocolis avec de la cervelle d'agneau bouilli sauce menthe et airelles.
- Jetez-moi le galet (ou du gravier, ça fait moins mal) si vous ne vous êtes jamais rincé l'oeil sur un mec ou une nana. Et ne parlons pas de fantasmes.
(...) To be continued, of course.
Mais le Créateur y avait déja peut-être pensé... C'est peut-être un Gros Malin, après tout !
mercredi 1 septembre 2010
Daylight come and me wan' go home
dimanche 29 août 2010
The end has no end
Je sais pas d'où ça me vient, je devrai peut-être entamer une psychanalyse. En tout cas, ce que je sais, c'est que vraiment, je ne peux pas m'empêcher d'écrire. Beaucoup de bêtises, certes, mais enfin, à 22 piges, on ne se refait pas.